PRESSE

« Un français à rendre jaloux nos compatriotes ; une nature théâtrale qui fait un sort à chaque vers du texte ; un timbre superbe » 

Le Salon Musical


Marguerite, La Damnation de Faust

City of Birmingham Symphony Orchestra, dir. Kazuki Yamada, avril 2024

« Grace Durham est une Marguerite radieuse dont le dernier syllabe soupiré du « Roi de Thulé » évoque un monde entier de mélancolie, et qui exprime dans « D'amour l'ardente flamme » tout le désespoir du personnage, avec un « Hélas » final qui brise le cœur. »
Midlands Music Reviews

« Grace Durham est une Marguerite émouvante et pleine de dignité »
The Telegraph

« Grace Durham fournit des moments-clé comme la Ballade du Roi de Thulé avec un aplomb touchant »
The Times


Traetta, Rex Salomone (Sadoc)

Innsbrucker Festwochen der Alten Musik, août 2023

« Grace Durham affiche un timbre somptueux. Sa voix semble avoir encore pris de la rondeur et de l’éclat. Le concours qui l’avait élue grande gagnante 2019 ne s’était pas trompé. »
Baroque News

« Le Sadoc de Grace Durham fait preuve d’une technique irréprochable dans tous ses vocalises et ornements. Sa voix riche en harmoniques est projetée à la perfection. »
Opera in Casa


Michelle Agnes Magalhaes, Après la tempête (création mondiale)

Festival Messiaen au Pays de la Meije, juillet 2023

« On est bluffé par le talent scénique et l’envergure théâtrale déployés par nos trois chanteuses maniant langues anglaise et française. D’origine anglaise, la mezzo Grace Durham s’exprime dans la langue de Shakespeare et nous enchante par ses songs : la voix est éminemment souple et lumineuse »
ResMusica

« La mezzo-soprano britannique, au français aussi natif que son anglais, dispose d’une voix charnue et capiteuse au médium riche »
Olyrix


Rossini, La Cenerentola (Angelina)

Nevill Holt Opera/Sage Gateshead, juin 2023

« La Cenerentola de Grace Durham est tout à fait attachante ; ses grands yeux expressifs et ses soupirs mélancoliques complètent une vocalité qui réussit à être à la fois tendre et brillante. »
The Spectator

« Grace Durham apporte une vraie sensibilité au rôle d’Angelina, tout en révélant une voix de mezzo-soprano émouvante et d’une grande distinction. »
MusicOMH

« Grace Durham chante le rôle-titre de Cenerentola avec chaleur, dignité et un aplomb technique impressionnant. »
The Stage

« La voix de Durham est riche et pleine, et sa Cenerentola à la fois assurée et bienveillante. »
Seen and Heard International


Gluck, Iphigénie en Tauride (Deuxième Prêtresse/Une femme grecque)

Opéra national de Lorraine, mars 2023

« Le beau timbre mordoré de mezzo de Grace Durham retient l’oreille et fait regretter la brièveté de ses interventions »
Première Loge

« La Deuxième Prêtresse au timbre rond et plantureux de Grace Durham »
ResMusica

« Nous retiendrons l’intensité dramatique de Grace Durham »
Opera Online 


Dvorák, Rusalka (La servante de cuisine)

Garsington Opera/Edinburgh International Festival, été 2022

« Grace Durham, une mezzo à la voix riche et un nom à suivre »
Opera Magazine


Verdi, Rigoletto (Giovanna)

Opernhaus Zürich, avril 2022

« Grace Durham est une Giovanna vive à la voix puissante »
I Hear Voices


Récital avec Edward Liddall


Bibliothèque La Grange-Fleuret, avril 2022

« Impossible de chanter le français comme on le parle ? eh bien si, on le peut, une chanteuse britannique nous le prouve, renouant avec un art de dire/chanter notre langue que bien des francophones pourraient lui envier. »
Première Loge


Récital avec Edward Liddall


Musée d’Orsay, mars 2022

« Le récital s’était ouvert avec […] Ariane à Naxos de Haydn. Si virtuose dans Ravel et Dvořák, le pianiste Edward Liddall y trouvait des grâces de pianofortiste, et la chanteuse laissait s’y épanouir un vrai talent de tragédienne. […] Mais c’est avec La Dame de Monte-Carlo que se trouvent réunies toutes les qualités de Grace Durham : un français à rendre jaloux nos compatriotes ; une nature théâtrale qui fait un sort à chaque vers du texte de Cocteau, avec des gestes toujours adéquats ; un timbre superbe »
Première Loge

« Un des grands bonheurs de la vie de mélomane est de découvrir, tout à l’aube de leur carrière, de nouveaux talents. Celui de la mezzo londonienne francophile Grace Durham s’impose d’évidence comme tout à fait exceptionnel. Outre sa voix opulente et ductile des plus suaves, parfaitement projetée et totalement maitrisée, elle fait montre d’autres qualités majeures comme le charisme et l’intelligence des textes. […] Ce récital restera comme un sommet de la saison et la révélation d’une personnalité artistique radieuse. »
ODB-Opéra


Bizet, Carmen (Mercédès)

Opéra National du Capitole de Toulouse, janvier 2022

« Très à l’aise la Mercédès de Grace Durham, au mezzo bien projeté sur un timbre acidulé. Sa grande facilité dans les aigus lui permet d’assurer vaillamment sa partie dans les ensembles et finales. »
Olyrix

« Grace Durham, pétillante Mercédès »
Forum Opéra

« La Mercédès de Grace Durham pétille et virevolte sur scène d’une manière réjouissante »
Olyrix


Philip Venables, Numbers

Festival d’Automne, Paris, octobre 2021

« [Dans Numbers 81-85], la voix de Grace Durham est tour à tour invoquante, mystérieuse, révoltée ou nonchalante dans le premier bloc. La strophe 96-100 est plus homogène, inscrite dans la temporalité très étirée d’une méditation collective. Du cri au murmure, la voix puissante autant que veloutée de la mezzo-soprano anglaise procède par bribes de phrases et espacements silencieux sur le mouvement circulaire et envoûtant des instruments. »
Hémisphère Son


Plaisir d’amour ne dure qu’un moment, récital avec Christophe Rousset et Les Talens Lyriques

Festival Antiqua Bolzano, septembre 2021

« La chanteuse anglaise […] a réussi à apporter du véritable théâtre au simple plateau en bois et à la pierre rude du château de Bolzano. […] Purcell était le sommet du concert. C’est là que la voix riche et généreuse de Durham a pu s’épanouir au maximum, imprégnée d’une théâtralité libérée, sans jamais pour autant perdre d’élégance. Sans décor, sans accessoires, sans rien sauf sa voix et quelques gestes, la mezzo-soprano anglaise a évoqué avec intelligence le caractère de chaque morceau, que ce soit Bess of Bedlam, The Fairy Queen (le merveilleux Let me weep) ou le Yorkshire Feast Song. »
Le Salon Musical


Music for a While, récital avec Christophe Rousset et Les Talens Lyriques

Innsbrucker Festwochen der Alten Musik, août 2020

« L'interprétation qu'offre Grace Durham dans cette musique, traditionnellement servie par des voix légères, surprend par son plein investissement vocal, son mezzo riche, rond et souple qui donne corps à toutes les notes, à tous les mots. Le texte en sort limpide et déclamatoire. On redécouvre alors cette musique sous un jour nouveau. »
Baroque News


Concours internal d’opéra baroque Cesti

2019

« De fait, rien ne semble lui manquer. Ni le placement de la respiration (et le souffle qui va avec), ni la souplesse de la vocalisation, ni la netteté des attaques, ni la qualité de la projection, ni l'énergie, ni le rayonnement. Le timbre est très agréable, le maintien sur scène tout à fait professionnel. […] Cerise sur le gâteau, l'air est précédé d'un récitatif accompagné absolument parfait dénotant un vrai métier théâtral. […] Il fait peu de doute que Durham saura un jour nous étourdir de vocalises en rafale à la Hallenberg ou à la Genaux. »
Première Loge

« C’est la mezzo-soprano britannique Grace Durham qui remporte le concours avec l’air Son qual misera colomba de l’opéra Cleofide de Johann Adolph Hasse. Après avoir commencé par un long récitatif, elle met à l’épreuve sa voix de mezzo chaleureuse et fluide dans des vocalises hautement acrobatiques. Les variations et ornements qu’elle y rajoute nous laissent imaginer que cette chanteuse a une très grande carrière devant elle. »
Online Musik Magazin

« Nous étions tout à fait d’accord avec les choix du jury. Le Grand Prix est décerné à Grace Durham, mezzo-soprano britannique dotée d’un timbre plantureux et d’une technique solide. Sa victoire hautement méritée est arrivée lors de son second air, Son qual misera colomba de l’opéra Cleofide de Hasse, une partition hérissée d’obstacles non seulement en termes de vocalises mais également, et surtout, pour la variété de couleurs requise. »
Le Salon Musical


Philip Venables, 4.48 Psychose (Clare)

Semperoper Dresden, 2019

« C’est Grace Durham qui fournit l’un des moments les plus forts en émotion de la soirée, avec une chanson dans le style de Purcell. »
Concerti

« Les six excellentes artistes chantent et jouent leurs rôles exigeants au sein de la structure complexe de la pièce avec une passion intense et une vocalité de première classe. »
Deutschlandfunk


Mozart, Le nozze di Figaro (Cherubino)

Semperoper Dresden, 2018

« Le Cherubino de Grace Durham était entièrement réussi. »
Seen and Heard International